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Guide pour les candidats intéressés par la Faculté des Sciences Humaines (FASCH)

  Guide pour les candidats intéressés par la Faculté des Sciences Humaines (FASCH) 1.Historicité FASCH a été fondée le 19 juin 1974, grâce à Salomon Pierre-Louis, membre de l'équipe Duvalier. La FASCH est l'une des plus grandes institutions en sciences humaines et sociales respectées de l'Université d'État d'Haïti (UEH) et des Caraïbes. Depuis sa création, il a formé des milliers d'étudiants dans des disciplines importantes et a offert des opportunités de carrière à l'étranger. 2.Vue d'ensemble de la Faculté La FASCH offre des programmes de licence dans quatre disciplines majeures : Sociologie, Communication Sociale, Psychologie, et Travail Social. Elle abrite également un programme de maîtrise en Population et Développement (MAPODE), qui fonctionne au sein du Centre en Population et Développement (CEPODE). Avec un effectif de 36 professeurs à temps plein, la faculté accueille chaque année plus de 300 étudiants par le biais de deux concours d...

La police nationale d'Haïti(PNH), à la dérive ( partie II)

 

La police nationale d'Haïti(PNH) à la dérive ( partie II)

Selon les opinions exprimées par les citoyens civils et les constats de certaines émissions radios et télévisions, le phénomène d'insécurité qui traverse le pays est surement gouvernemental et politique. Nous n'allons pas nous fonder sur ces directives, voyons plutôt les faits du point de vue sociologique, économique et politique, pour trouver l’implication de la Police Nationale d'Haïti, dont la mission est de garantir de l'ordre public et la protection de la vie et des biens du citoyen. 

Tout d’abord, beaucoup d’autorités gouvernementales et policières ont promis récemment d’appliquer les meilleures stratégies afin de mater l'insécurité dans le pays. Cependant la liste des victimes tuées par balles, ces derniers jours, continue de s'allonger. Parmi ces victimes : le bâtonnier de l'Ordre des avocats de Port-au-Prince, Me Monferrier Dorval, l'assassinat de deux jeunes danseurs, l'assassinat de Grégory  Saint-Hilaire à l'ENS, sont entre-autres, des actes crapuleux qui révoltent la conscience.

Malgré la dernière opération « Terminator I », lancée par la Police nationale d'Haïti (PNH), les bandits armés ne chôment pas. Dans la capitale spécifiquement, ils multiplient leur forfait en toute quiétude. Cette situation de terreur déborde et nous fait peur.

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Il n'y a pas que les habitants de la troisième circonscription de Port-au-Prince, de La Saline, de Carrefour-feuille, de Bel-Air, de Pont-Rouge, de Bas Delmas, qui sont exposés à ce fléau. Le phénomène s’est étendu sur tout le territoire et tend à devenir normal en Haïti.

Les voix ne cessent de s'élever contre ce phénomène anxiogène. À chaque semaine, son lot de cadavres. Les forces de sécurité et les responsables politiques semblent être dans l’incapacité de bloquer l'hémorragie. Tout le monde se contente de condamner, d’annoncer des mesures, mais la situation reste inchangée. Le phénomène de l'insécurité est à sa vitesse de croisière.

L’impuissance de l'État est flagrante. À de nombreuses reprises, le Conseil supérieur de la Police nationale s’est réuni pour se pencher sur le problème. Malgré, des membres de la population continuent de mourir sous les balles assassines de bandits. La mort du substitut commissaire du gouvernement avait ému l'opinion publique, les autorités policières sont instruites, la justice sévira contre les auteurs, co-auteurs et complices de ces actes, promet le pouvoir. La population, quant à elle, croise les doigts dans l'espoir d’une éclaircie dans cette grisaille.

Ces actes nous poussent à poser ces questions :  La sécurité publique repose sur qui, le gouvernement ou la police ? Comment garantir la sécurité sociale dans le pays ? Comment freiner le banditisme sur tout le territoire du pays ?»

La machine infernale de l’insécurité, sans pitié, continue de faucher la vie de pauvres haïtiens.

Carl Marx

509 3917-6789

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